Les massifs forestiers sont sujets à de nombreuses perturbations, qui peuvent être soient programmées (coupes d’exploitation) soient subies comme les incendies ou les attaques parasitaires. Ces dernières sont autant le fruit de la globalisation des échanges que la conséquence directe du changement climatique (notamment les sécheresses récurrentes). Ces perturbations restent mal quantifiées alors qu’elles affectent la pérennité de la ressource et l’économie de cette filière transfrontalière.

Les massifs forestiers sont sujets à de nombreuses perturbations, qui peuvent être soient programmées (coupes d’exploitation) soient subies comme les incendies ou les attaques parasitaires. Ces dernières sont autant le fruit de la globalisation des échanges que la conséquence directe du changement climatique (notamment les sécheresses récurrentes). Ces perturbations restent mal quantifiées alors qu’elles affectent la pérennité de la ressource et l’économie de cette filière transfrontalière.

Produits perturbations forestières :

• Coupes d’exploitation : détection de changement entre images radar Sentinel1 du couvert forestier, fréquence 3 à 5j, fichier vectoriel format .json, résolution 10m.
• Zones brulées : La délimitation des zones brulées se fait par l’analyse de la dynamique dans le domaine du moyen infrarouge. Un rapport de brûlage relativisé (RBR) est calculé entre les images Sentinel 2A pré et post-incendie. Fréquence 3 à 5 jours en l’absence de nuages, fichier vectoriel format .json, résolution 10m.
• Dégâts sanitaires : Modèles de détection automatique de zones de rougissement des houppiers. La chaine de traitement implémentée repose sur une technique de classification supervisée d’images des évolutions dans les domaines du proche et du moyen infrarouge des images Sentinel 2. Fréquence 3 à 5 jours en l’absence de nuages, fichier vectoriel format .json, résolution 10m.